Paroles d'un lecteur           

     ''J'ai lu avec grand intérêt l'écrit intitulé : 'Dernier Avertissement' qui figure parmi ceux que vous publiez sur ce site.

    Il m'a fait penser à un passage de l'Evangile où Jésus dit ceci : ''Priez pour que votre fuite ne tombe pas en hiver. Car il y aura alors une grande détresse, telle qu'il n'y en a pas eu depuis le commencement du monde jusqu'à ce jour, et qu'il n'y en aura jamais plus. Et si ces jours-là n'avaient pas été abrégés, nul n'aurait eu la vie sauve ; mais à cause des élus, ils seront abrégés ces jours-là'' (Evangile selon saint Matthieu, chapitre 24, versets 20-22).

    Dans cette ''grande détresse'' présentée comme unique dans toute l'Histoire du monde depuis son commencement jusqu'à sa fin, ne peut-on pas reconnaître ce que provoquerait une guerre nucléaire mondiale suite à laquelle sans aucun doute, ''nul n'aurait la vie sauve'' ? Quel cataclysme pourrait avoir une telle conséquence, au point d'anéantir toute vie humaine sur la terre ?

    Mais il est affirmé par deux fois que ''ces jours-là'' seraient ''abrégés''.

    Remarquons d'abord qu'il est question de ''jours'' seulement, une telle guerre, par sa nature, ne pouvant pas durer plus longtemps. Ensuite il est dit qu'ils seront ''abrégés''. Pour cela, on le comprend, il faudra l'intervention d'une cause extérieure puissante, capable d'en interrompre le cours.

    C'est ici que ce qui se trouve écrit dans ''Dernier Avertissement'' nous apporte, me semble-t-il, la réponse. C'est Dieu Lui-même qui, dans Sa toute-puissance, interviendra, mettant un coup d'arrêt à l'hécatombe, de la manière qu'Il dit. Je vous renvoie à Ses propres paroles.

    Quelle en est la raison ? Jésus l'a dit : ''à cause des élus'', pour qu'ils aient ''la vie sauve''. Il doit donc y avoir des survivants, nommés ''élus''.

    Dans le contexte de la pensée de Jésus, - puisque c'est lui qui parle ici, - les élus sont les ''appelés'' qui ont répondu. Ceci ressort de sa parole : ''Beaucoup sont appelés, mais peu sont élus'' (Evangile selon saint Matthieu, chapitre 22, verset 14).

    Dans ce ''beaucoup'', ne peut-on pas voir tous les humains appelés par Dieu à se convertir ? Ceci semble assez cohérent avec la parole de Jésus : ''Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous'' (Evangile selon saint Luc, chapitre 13, verset 4). Et à la fin de Son ''Dernier Avertissement'', Dieu cependant de conclure : ''Mais J'aurai Mes convertis''.

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